Les filles de bar


Il est plus rentable d'aller vers des métiers plus rénumérateurs,
comme l'assistance aux personnes en mal d'affection,
plutôt que faire la rizière pour un petit salaire, ou autres métier pénibles et peu payés.
Alors qui peut juger ?

Voici deux histoires qui nous sont arrivées et qui sont assez représentatives.
La première se déroule à Chiang Mai,
Au "Linda's Bar". Son propriétaire est suisse-allemand.
Il se présente (cela se fait souvent dans les "bar à filles") et nous parle de son histoire.



Médecin pour une ONG en Asie, il a décidé de prendre une pré-retraite bien méritée.

Il est marié à une Thaïe depuis 8 ans et ils tiennent ce bar ensemble.

"Ma femme est du village de Sukhothai, c'est elle qui a fait venir les filles de son village".

Vers 21h, arrivent 3 jeunes Hollandais très sûrs d'eux qui font virevolter les jeunes femmes
(faut dire qu'elles ne sont pas bien lourdes!) sur leurs épaules et éclusent quelques bières.

L'un deux agite la cloche suspendue au-dessus du bar, ce qui, signifie qu'il paie une tournée générale aux filles.

Elles se servent chacune un Mékong puis vient l'heure de l'addition.
Le plus costaud (Monsieur Muscu, vu la taille de ses biceps et l'étroitesse de son cerveau!)
s'insurge et refuse de payer. Bandant ses muscles, il se précipite vers le propriétaire du bar.
Il n'a pas fait trois pas que les jeunes femmes encerclent les trois gaillards.
En un éclair, l'une d'elles brandit un cendrier, une autre un tabouret du bar, 2 autres debout sur le bar avec des barres de fer.

Nos 3 jeunes comprennent assez vite qu'ils ne feront pas le poids contre ces 14 jeunes femmes visiblement furieuses.

Ils battent en retraite sans payer l'addition.
Le suisse nous dit "je préfère cela à une bagarre, mais vous avez vu mes hotesses.
Elles sont super, non"?

Nous avons été surpris et admiratifs de leur attitude de défense de leur patron et de leur gagne-pain.

Elles sont courageuses ces petites bonnes femmes qui pèsent à peine 50 Kg toutes mouillées!

La seconde histoire, c'est celle de Gigi au "Chichi's Bar" de Patong.
Les filles parlent très peu l'anglais et elles ont un scénario tout prêt:
"Where are you from?" et "Where you stay?"

Gigi, par contre, parle un anglais plus élaboré.
Elle vient de Bangkok et c'est elle qui "contrôle" les autres hotesses.
On est loin de la "mamasan" vieille et acariâtre que l'on voit dans les films asiatiques.
En effet, Gigi a 31 ans, elle est jolie et mince et son rêve,
c'est de mettre des sous de côté pour partir voyager.

En attendant, elle en envoie chaque mois à sa famille (chose courante pour ces filles qui ont un métier "rémunérateur")

Elle nous a confié qu'elle ne gagnait pas trop mal sa vie par rapport à sa soeur
qui travaille dans une banque à Bangkok pour un salaire mensuel de 325 euros par mois

Rappelons que lesfilles de bar sont principalement des hôtesses qui permettent au bar de fonctionner.

Elles peuvent proposer "plus" aux clients mais c'est à elles d'en décider, le client lui,
devra s'acquitter d'une somme fixe au bar en compensation du "manque à gagner"
dont souffrira le bar en l'absence de la fille.
On est loin de l'image apocalyptique propagée par les médias.

Nous avons vu le "meilleur" en quelque sorte mais il y a aussi le pire.

Chaque mois, la police découvre un nouveau trafic de jeunes femmes venues de Birmanie,
du Laos ou du Vietnam qui se voient promettre de bons emplois en Thaïlande
et se retrouvent obligées de se prostituer.

Par ailleurs nombreuses sont les filles qui se prostituent sur pression du mari ou du copain thai
qui reste le cul dans son fauteuil a jouer et a boire, et pire de leur propre famille et parents.
Cette forme de coercition morale n'est pas moins grave que les coups..
Elle est tout aussi penible a supporter notamment pour des gens qui,
sans parcours scolaire et educatif, sont fragiles.

Quant au fait qu'on peut gagner en 3 ans ce qu'on gagne en une vie,
je peux te dire qu'a part quelques filles tres pragmatiques et organisees,
j'ai plutot vu des nanas qui n'avaient jamais un rond devant elle entre ce qu'elles envoyaient a la famille,
ce qu'elles jouaient et malheureusement parfois buvaient voire pire.
Par contre il est clair qu'apparemment elles ont un niveau de vie supérieur a celui de la campagne
(portable, vetements, restaus etc...)

J'en reste a ce que j'indiquais, je n'ai rien contre la prostitution tant que les filles
qui y recourent l'exercent sans contrainte et par choix...
Or le faire par raison financiere est une forme de contrainte...
Tiens on n'a pas encore eu ici le discours style, je fais dans l'humanitaire
car j'ai recours a des prostituees thais..


fille


L'empleur du phénomème

Les filles thailandaises

+ de photos


Le système des gogo bars :


le gogo doit d'abord débourser aux alentours de 600 THB
pour faire sortir la personne du bar, après qu'il ait offert un ou plusieurs verres à sa conquête
voire aux copines de celle-ci, ensuite l'hôtel lui demande un "joiner fee" de 500/600 THB etc.....
Jusqu'au final où la prostituée, après avoir promené sa victime dans les magasins
et vidé son portefeuille lui réclamera une indemnité de départ
(elle doit retourner dans sa famille car sa mère est malade,
il faut acheter un nouveau buffle car celui qui permettait à la famille de vivre est mort etc.....).
Enfin, elle lui demandera son adresse email ou son numéro de fax
qui servira à quémander à nouveau de l'argent après le retour du client dans son pays.
L'ex-client devient alors un sponsor.



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